Uwagi o służebnej, choć nie usługowej roli nauki historii państwa i prawa

Abstrakt

Développés en Pologne au XIXe siècle, les disciplines scientifiques connus sous le nom de l’histoire de l’état et du droit subsitaient un destain bien différent. Destinés à donner à la société polonaise les réponses aux questions concernantes de son passée historique, notamment sur les causes et sur les conséquences de la chute de l’État polonais à la fin du XVIIIe siècle, elles jouissaient de l’estimation sociale bien considerable. Cela a été diminuée dans la période entre deux dernières guèrres mondiales. Bien qu’à ce temps on reconnaissait que la Pologne ne constituait pas d’un état nouveau, mais l’état qui a été reconstitué après la longue période de l’„esclavage”, mais on ne se référait pas à sa constitution précedente. C’est pour cela on a plutôt negligé le savoir disposé par les connaissaires du système politique de la Pologne ancienne d’avant les partages. A part ça, sur l’histoire du droit a ét confié un devoir scientifique importante. Car la periode de l’„esclavage nationale” du 1795 au 1918 est devenu une partie du temps passé, il fallait la prendre à l’atelier scientifique, l’examiner et la soumettre sous le jugement des historiens. Après la seconde guèrre mondiale la position des disciplines historico-juridiques a baissé encore plus. Soumis sous le contrôle politique, introduits dans les cadres de l’idéologie marxiste, subordonnés à la censure, elles n’avaient pratiquement pas d’influence sur l’opinion publique. Elles se sont retirés au travail de base, de l’édition des sources ou aux recherches sur les époques et sur les sujets qui n’engagaient pas les intérêts du pouvoir politique. Dans nos jours, l’histoire du droit regagne sa signification primitive. Elle entreprend un nouvel devoir: un examen de la période de 1945 à 1989, quand la nation polonaise vivait dans le cadre du régime imposé de l’extérieur, qui n’a pas été vraiment légitime et souverain. A celui ci, s’ajoute des nouveaux devoirs: la popularisation des résultats scientifiques qui ont l’importance aussi grande pour les gouvernants que pour les gouvernés.