Socjalizm utopijny i spory o naturę władzy w środowisku Wielkiej Emigracji
Okładka czasopisma Czasopismo Prawno-Historyczne, tom 33, nr 2, rok 1981
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Słowa kluczowe

insurrection de novembre
transformation de la pensée politique polonaise
Grande Émigration

Jak cytować

Filipowicz, S. (1981). Socjalizm utopijny i spory o naturę władzy w środowisku Wielkiej Emigracji. Czasopismo Prawno-Historyczne, 33(2), 101–127. https://doi.org/10.14746/cph.1981.33.2.7

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Abstrakt

La chute de l'insurrection de novembre commença la transformation essentielle de la pensée politique polonaise. Elle fut différenciée d'une façon beaucoup plus remarquable que dans le passé. Le domaine dans lequel s'esquissèrent les divisions furent: la manière de regarder l'histoire et l'appréciation de la situation historique de la nation. L'empreinte spécifique de la réflexion politique dans la première moitié du XIXe fut caractérisée par un profond embrouillement dans la problématique d'historiosophie. Le problème des conditions d'existence de la communauté politique occupa la place des sujets traditionnels, liés avec l'Etat, ses institutions, le mécanisme d'exercer le pouvoir. Les réflexions sur la politique dans la perspective d'historiosophie suggéraient des questions essentielles sur le sens, les sources et la signification historique de l'ordre politique, ses bases morales et historiques. Cette orientation théorique donna cet effect qu'on s'intéressait surtout au problème du pouvoir. Les questions concernant le contenu, le sujet et les sources du pouvoir embrassaient tous les problèmes ci-dessus mentionnés. La violence avec laquelle on effectua la polarisation de l'idée dans le milieu le plus actif politiquement, le seul ou'on pouvait ouvertement exprimer ses opinions — milieu de la Grande Emigration — démontra au quel point le problème était litigieux.

Les disputes d'émigration sur la nature du pouvoir démontrent tous les dilemmes essentiels de la réflexion politique de cette époque. Les conceptions des socialistes u topiques furent le domaine qui assemblait les idées divergentes. Ces radicaux inconciliable s'attaquaient à tous ceux qui visaient les buts de leurs programmes et leur imanière de penser. Tout en généralisant et simplifiant la question, on peut conclure que, dans les polémiques d'émigration, c'étaient les conservateurs et les libéraux qui furent les principaux adversaires du socialisme. La formule apodictique des conservateurs, unissant la notion de la nation avec celle du pouvoir monarchique, fut l'inverse de l'idéal socialiste de la souveraineté du peuple. Les socialistes, autrement que les conservateurs, ne jugeaient pas que l'histoire donne des preuves de la nécessité du système monarchique. C'est pourtant la monarchie qui devint le tombeau de la Pologne. A leur avis le courant historique mit à la tête de la nation le peuple. Ce n'est que le peuple qui peut gouverner, les raisons morales et politiques le font voir. Son pouvoir légitime, puisque conforme aux intentions divines, (les socialistes effectuèrent une interprétation révolutionnaire de l'Evangile), est en même temps l'unique pouvoir politiquement efficace — seulement le peuple constitue une force qui compte, il n'y a que le peuple qui est à même de liberer la nation.

Les socialistes traitaient les idées des conservateurs comme un symptôme de l'hypocrisie patriotique, un attentat contre la volonté du peuple et de même contare la liberté de la nation. En ce qui concerne les libéraux, qui comprenaient la société comme une spécifique communauté d'intérêts, basée sur des raisons individuelles, les socialistes leurs reprochaient l'incompréhension des droits fondamentaux de l'existence nationale. Malgré qu'ils ne leurs reprochaient pas, comme aux conservateurs, la trahison, ils démontraient néanmoins que le programme libéral était dépourvu de la légitimité patriotique. Le pouvoir ne peut pas être une fourme d'administration. Son source qui doit construire la communauté authentigue provient de la mission historique du peuple. Les socialistes s'attaquaient à Towarzystwo Demokratyczne Polskie (la Société Démocratique Polonaise) à cause de son désir de maintenir les principes de la propriété privée. Ils prétendaient que la priopriété donne naissance à l'égoisme, détruit la nation. C'est ainsi que le programme libéral orée seulement des illusions. Il ne peut pas unir la société à l'étape de la lutte et ne prévoit pas l'unité future. L'approbation à l'idée libérale du pouvoir, en service des intérêts individuels, aurait signifié l'extermination historique de la nation.

https://doi.org/10.14746/cph.1981.33.2.7
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