Koncepcje teoretycznoprawne w Polsce międzywojennej
Okładka czasopisma Czasopismo Prawno-Historyczne, tom 32, nr 2, rok 1980
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Słowa kluczowe

pensée juridique polonaise (1918–1939)
théoriciens du droit polonais
positivisme philosophique
Leon Petrażycki
normativisme

Jak cytować

Czepita, S. (1980). Koncepcje teoretycznoprawne w Polsce międzywojennej. Czasopismo Prawno-Historyczne, 32(2), 107–149. https://doi.org/10.14746/cph.1980.32.2.6

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Abstrakt

La totalité de conceptions des théoriciens et des philosophes du droit polonais de la période de 1918 à 1939 ne fut pas encore présentée ni par des historiens ni par les théoriciens du droit. Cependant l'analyse de 'ces conceptions conduit a la conclusion que 'la théorique pensée juridique polonaise de cette époque ne subsistait pas seulement à l'ombre de grandes écoles européennes de da théorie du droit. La contribution créatrice des théoriciens polonais du droit à l'acquis de la théorique pensée juridique mondiale reste, pour une grande part inconnue et sous-estimée.

La théorique pensée juridique polonaise de cette période se distinguait par une forte orientation antispéculative. Cela s'exprimait par le développement exubérant des conceptions réalistes, liées avec le positivisme philosophique, parmi lesquelles furent représentées aussi bien les conceptions de psychologisme, que celles de sociologisme. Leon Petrażycki qui après la Iè r e guerre mondiale s'instala 
à Varsovie, ainsi que Jerzy Lande, Eugeniusz Jarra et Henryk Piętka qui furent sous son influence, plus ou moins grande, développaient les conceptions de psychologisme dans la sphère de la théorie du droit. Grâce aux élèves étrangers de L. Petrażycki, ses conceptions bénéficièrent d'une certaine renommée dans la théorie mondiale du droit. Par contre, les conceptions intéressantes des autres  représentants polonais du psycholagisme ne sont pas connues sur une vaste échelle. Ainsi p.ex. J. Lande interpréta d'une (telle manière les conceptions de L. Petrażycki, qu'on trouva la place aussi pour des problèmes logico-sémantiques et sociologiques dans le programme de recherches psychologiques de sa théorie du droit.

Les conceptions originales des représentants polonais du socialogisme dans le domaine de la théorie du droit restèrent tout à fait inconnues hors des frontières du pays. Quelques-unes démontrèrent les analogies essentielles, relatives à la conception américaine du „réalisme juridique" (conception de Józef Zajkowski et Sawa Frydman); elles avaient pourtant les plus profondes bases philosophiques se rapportant à l'acquis de l'école de Léopol et de Varsovie, et particulièrement au réisme de Tadeusz Kotarbiński. Les autres conceptions des représentants du sociologisme (Czesław Znamierowski et Bronisław Wróblewski) s'exprimaient par les essais de l'accomodation de l'acquis de la sociologie polonaise et mondiale ainsi que de la psychologie sociale à la problématique des sciences juridiques. Le programme de la construction de la théorie du droit, formulé par Cz. Znamierowski, lié avec le développement des analyses des notions fondamentales de sciences juridiques, dévança dans beaucoup de cas les essais analogues entrepris par la
théorie juridique anglaise d'après la guerre. 

Les conceptions du kelsénisme (normativisme) avait en Pologne de cette époque des représentants peu nombreux, mais pour la plupart originaux. Szymon Rundstein représentait le normativisme extrémiste. Władysław Leopold Jaworski, dans ses considérations sur la théorie du droit, liait les idées normativistes avec les fils hétérogènes réalistes et juridico-naturels. Le développement des conceptions polonaises d'entre deux guerres du droit naturel (Czesław Martyniak, Jacek Woroniecki) était en Europe d'alors lié avec Ja renaissance de la pensée philosophique du tomisme.

https://doi.org/10.14746/cph.1980.32.2.6
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